A l'Est...

Au pays des soleils levants, ou n'importe où d'ailleurs : qu'importent le pouvoir, l'argent et la notoriété ! Il suffit d'un grand bol d'amour pour être le plus heureux des humains...

"Wo, Mìng."

Une invitation au voyage et un grand bol d'amour...

Brossage de la culture quadri millénaire chinoise, en passant par son mode de vie passé et présent, et ses croyances.

Ming, grand-mère paysanne, aurait pu être ou devenir tant de personnages... Tireur de pousse-pousse, Mandarin, Garde Impérial, Immortelle même !

Mais elle est seulement Ming, "puceron" de la province de Qinghai, et l'amour de, et pour, sa petite-fille en fait un être exceptionnel. Tout simplement.

Des rebondissements s'enchaînent mais suivent néanmoins la structure du conte, dans son schéma minimal :

une situation de départ : "il était une fois... une grand-mère qui élève seule sa petite-fille, au pays des soleils levants..." ;
un élément perturbateur qui entraîne le héros dans une quête : "le désir d'être ou d'avoir le meilleur pour élever sa petite-fille..." ;
le dénouement final : "l'amour pour sa petite-fille est ce qu'il y a de mieux...".

Un univers asiatique

plonge les spectateurs dans un monde différemment "merveilleux"... tant par le jeu de la comédienne, la scénographie, que par la musicalité du spectacle.